I need some help | Chace J.
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Miami Academy :: Entre les murs :: Chambres :: Chambres ( collocations ) :: Chambre 1 - Chace, Ed, April & Serena.
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Jour J. Chelsea et ses amies allaient à Miami. Elle était toute excitée à l’idée de poser les pieds dans cette ville qui avait l’air si merveilleuse. Les voilà dans le taxi, 4h de route avant d’arriver à Miami. Une devant, à coter du chauffeur, et deux sur la banquette arrière. Chelsea rayonnait. Tout était prévu. Elle allait dormir dans un des plus grand hôtel de Miami, avec ses deux meilleures amies. Durant tout le trajet, elles parlèrent de tout et de rien. Le chauffeur se joignait aussi à la conversation, et ensemble, ils rièrent jusqu’à en avoir mal au ventre. Mais voilà, les 4h passèrent bien vite et ce fût bientôt l’heure de ce dire adieu.
« Aller, salut les filles ! A la prochaine, j’espère. »
Nous lança le chauffeur, remplit de joie. Il nous laissa sur le bord du trottoir et s’en alla. En face de nous, la mer. Magnifique. Imposante. Elle était d’un bleu magnifique. On pouvait apercevoir des surfeurs qui n’avaient pas froid aux yeux. Les vagues étaient immenses. Il faudrait un jour que j’apprenne à surfer. On a qu’une vie après tout. Hellen nous informa que l’hôtel était tout près, nous nous mirent en route et en moins de 5minutes nous étions arrivé. L’hôtel était magnifique. Cinq étoiles. Ça sert d’être la fille du président finalement ! Nous allâmes nous installer toutes ensemble dans une seule et même chambre et nous filâmes prendre le dîner devant un magnifique coucher de soleil. Après cela, direction la boite de nuit. Nous voulions profiter au maximum de ce petit voyage de 3jours à Miami. La file d’attente était longue et nous en avions marre d’attendre. J’alla donc voir le videur en souriant, mes deux amies sur mes pas. Je le salua avec un grand sourire, dévoilant mes dents blanches et sortit ma carte d’identité en la gigotant sous son nez. Le videur pas très commode allait s’apprêter à m’ordonner de retourner à la file d’attente quand je lui lançai :
« Le président ne serait pas très content s’il savait que sa fille à été mal accueillit ici. »
Lui dit-je, avec un regard malicieux. J’exagérais, je le savais. Cela ne se faisais pas de profiter ainsi du fait d’être la fille du président, mais pour une fois. Le videur examina de près ma carte d’identité, et nous laissa entrer immédiatement. La musique était assourdissante. Les gens dansaient, fumaient, s’embrassaient, buvaient. Nous nous dirigeâmes vers le bar et commandâmes quelques boissons, pour bien commencer la soirée. J’avais perdu la notion du temps. Depuis combien de temps nous étions en train de danser ? Une heure ? Deux ? Aucune idée. Je lança un « je reviens », inaudible à cause de la musique, à mes amies et sortit de la boite. L’air frais me fît un bien fou. Je m’adossa au mur, reposa ma tête contre celui-ci et ferma les yeux pour savourer cet instant. Après quelque instant je sortit une cigarette de ma poche et l’alluma. Je regarda le ciel remplit d’étoiles et souri inconsciemment. J’étais heureuse. J’avais des amies et une famille en or. J’avais la vie parfaite. Soudain quelque chose se plaqua contre ma bouche, je lâchai ma cigarette. Je lança un cri étouffer. J’essayai tant bien que mal de me débattre mais un autre homme –cagoulé- bloqua mes mains.
« Grâce à toi, on vas pouvoir faire chanter ton père, ma jolie… »
Susurra l’homme à mon oreille. Comment avaient-ils sût que je serais à la boite ce jour-là ?! D’un coup de pied bien placer je réussi à m’en débarrasser. Et je ne sais par quel coup de chance, l’homme qui avait la main plaquée contre ma bouche trébucha, me laissant la voie libre. La respiration haletante, les jambes tremblantes, la peur m’envahissait de plus en plus. J’entendais les hommes poussés des cris derrière moi. Je les entendais courir derrière moi. Je ne savais où j’allais. Je courrais, encore et encore, allant droit devant moi. Me faufilant parfois dans des petites ruelles, priant pour qu’elles ne soient pas des impasses.
« On te lâchera pas, salope! On te retrouvera où que t'aille! »
Des larmes coulaient le long de mon visage. Je n’en pouvais plus. J’étais fatiguée. Mais je continuais à courir. Les larmes aveuglaient ma vision. Je cavalais vers l'inconnu en ne sachant pas où je mettrais les pieds. Un grand bâtiment blanc se dressa devant moi. Un hôtel ? Un restaurant ? Une université ? Qu’importe ! Je couru vers l’entrée. Le portail était fermé. Je poussa un juron et l’escalada comme je pu. Je retomba bruyamment et continua à courir sans m’arrêter. Mon mascara coulait sur mon visage. Je poussai la porte d’entrée avec une telle violence que plusieurs personnes me dévisagèrent. Je vis dans un coin de ce hall des casiers. J’étais dans une université. Ou une académie. Aucune idée. Je continuai ma course, ne sachant si les hommes me couraient encore après. Je monta quatre à quatre les escaliers, manquant de m’effondrer sur les marches. Je sentais que mon cœur allait lâcher si je continuai ainsi. Ma gorge était sèche et je commençais à avoir des vertiges. Je ralentit le pas une fois arrivé dans un couloir, vide. Je tentais d’écouter s’il y avait des bruits, mais je n’entendais rien avec mon cœur qui battait à la chamade dans mes oreilles. Je longeais les murs. Mes doigts placés derrière moi rencontrèrent une poignée de porte. J’ouvris la porte sans hésiter. Elle était ouverte à mon grand bonheur. Je la refermai les mains tremblantes. Je couru jusqu’au milieu de la pièce. C’était une sorte d’appartement. Une chambre d’étudiant. Mais je n’avais pas le temps de m’attarder sur les détails. J’entendis quelques instants après la porte s’ouvrir dans un léger grincement. Les hommes m’avaient suivi ! Je fonça vers une des nombreuses portes et entra dans la pièce, en essayant de faire le moins de bruits possible. J’allai me plaquer contre le mur, derrière la porte. C’était une salle de bain. Très luxueuse. Une sorte de baignoire jacuzzi trônait dans un coin de la pièce. J’entendais des bruits de pas s’approcher de la pièce où j’étais caché. Mes larmes reprirent de plus belle. Je me mordais la lèvre pour qu’aucun bruit ne sorte de ma bouche. Il n’y avait qu’un homme, et vu le rythme de ses pas, il était aux aguets. Où étaient les autres ? Etaient-ils restés dehors ? Ou m’attendaient-ils dans le couloir ? Prise de panique, je m’empara d’un objet dans les mains et lorsque l’homme eu dépasser le seuil de la porte, l’abattit sur son crâne. L’homme s’effondra au sol sous le choc en poussant un juron. J’écarquillai les yeux, il n’était pas cagoulé. J’étais clouée sur place, aucuns de mes membres ne m’obéissait. L’homme se releva lentement, les sourcils froncés.
« Aller, salut les filles ! A la prochaine, j’espère. »
Nous lança le chauffeur, remplit de joie. Il nous laissa sur le bord du trottoir et s’en alla. En face de nous, la mer. Magnifique. Imposante. Elle était d’un bleu magnifique. On pouvait apercevoir des surfeurs qui n’avaient pas froid aux yeux. Les vagues étaient immenses. Il faudrait un jour que j’apprenne à surfer. On a qu’une vie après tout. Hellen nous informa que l’hôtel était tout près, nous nous mirent en route et en moins de 5minutes nous étions arrivé. L’hôtel était magnifique. Cinq étoiles. Ça sert d’être la fille du président finalement ! Nous allâmes nous installer toutes ensemble dans une seule et même chambre et nous filâmes prendre le dîner devant un magnifique coucher de soleil. Après cela, direction la boite de nuit. Nous voulions profiter au maximum de ce petit voyage de 3jours à Miami. La file d’attente était longue et nous en avions marre d’attendre. J’alla donc voir le videur en souriant, mes deux amies sur mes pas. Je le salua avec un grand sourire, dévoilant mes dents blanches et sortit ma carte d’identité en la gigotant sous son nez. Le videur pas très commode allait s’apprêter à m’ordonner de retourner à la file d’attente quand je lui lançai :
« Le président ne serait pas très content s’il savait que sa fille à été mal accueillit ici. »
Lui dit-je, avec un regard malicieux. J’exagérais, je le savais. Cela ne se faisais pas de profiter ainsi du fait d’être la fille du président, mais pour une fois. Le videur examina de près ma carte d’identité, et nous laissa entrer immédiatement. La musique était assourdissante. Les gens dansaient, fumaient, s’embrassaient, buvaient. Nous nous dirigeâmes vers le bar et commandâmes quelques boissons, pour bien commencer la soirée. J’avais perdu la notion du temps. Depuis combien de temps nous étions en train de danser ? Une heure ? Deux ? Aucune idée. Je lança un « je reviens », inaudible à cause de la musique, à mes amies et sortit de la boite. L’air frais me fît un bien fou. Je m’adossa au mur, reposa ma tête contre celui-ci et ferma les yeux pour savourer cet instant. Après quelque instant je sortit une cigarette de ma poche et l’alluma. Je regarda le ciel remplit d’étoiles et souri inconsciemment. J’étais heureuse. J’avais des amies et une famille en or. J’avais la vie parfaite. Soudain quelque chose se plaqua contre ma bouche, je lâchai ma cigarette. Je lança un cri étouffer. J’essayai tant bien que mal de me débattre mais un autre homme –cagoulé- bloqua mes mains.
« Grâce à toi, on vas pouvoir faire chanter ton père, ma jolie… »
Susurra l’homme à mon oreille. Comment avaient-ils sût que je serais à la boite ce jour-là ?! D’un coup de pied bien placer je réussi à m’en débarrasser. Et je ne sais par quel coup de chance, l’homme qui avait la main plaquée contre ma bouche trébucha, me laissant la voie libre. La respiration haletante, les jambes tremblantes, la peur m’envahissait de plus en plus. J’entendais les hommes poussés des cris derrière moi. Je les entendais courir derrière moi. Je ne savais où j’allais. Je courrais, encore et encore, allant droit devant moi. Me faufilant parfois dans des petites ruelles, priant pour qu’elles ne soient pas des impasses.
« On te lâchera pas, salope! On te retrouvera où que t'aille! »
Des larmes coulaient le long de mon visage. Je n’en pouvais plus. J’étais fatiguée. Mais je continuais à courir. Les larmes aveuglaient ma vision. Je cavalais vers l'inconnu en ne sachant pas où je mettrais les pieds. Un grand bâtiment blanc se dressa devant moi. Un hôtel ? Un restaurant ? Une université ? Qu’importe ! Je couru vers l’entrée. Le portail était fermé. Je poussa un juron et l’escalada comme je pu. Je retomba bruyamment et continua à courir sans m’arrêter. Mon mascara coulait sur mon visage. Je poussai la porte d’entrée avec une telle violence que plusieurs personnes me dévisagèrent. Je vis dans un coin de ce hall des casiers. J’étais dans une université. Ou une académie. Aucune idée. Je continuai ma course, ne sachant si les hommes me couraient encore après. Je monta quatre à quatre les escaliers, manquant de m’effondrer sur les marches. Je sentais que mon cœur allait lâcher si je continuai ainsi. Ma gorge était sèche et je commençais à avoir des vertiges. Je ralentit le pas une fois arrivé dans un couloir, vide. Je tentais d’écouter s’il y avait des bruits, mais je n’entendais rien avec mon cœur qui battait à la chamade dans mes oreilles. Je longeais les murs. Mes doigts placés derrière moi rencontrèrent une poignée de porte. J’ouvris la porte sans hésiter. Elle était ouverte à mon grand bonheur. Je la refermai les mains tremblantes. Je couru jusqu’au milieu de la pièce. C’était une sorte d’appartement. Une chambre d’étudiant. Mais je n’avais pas le temps de m’attarder sur les détails. J’entendis quelques instants après la porte s’ouvrir dans un léger grincement. Les hommes m’avaient suivi ! Je fonça vers une des nombreuses portes et entra dans la pièce, en essayant de faire le moins de bruits possible. J’allai me plaquer contre le mur, derrière la porte. C’était une salle de bain. Très luxueuse. Une sorte de baignoire jacuzzi trônait dans un coin de la pièce. J’entendais des bruits de pas s’approcher de la pièce où j’étais caché. Mes larmes reprirent de plus belle. Je me mordais la lèvre pour qu’aucun bruit ne sorte de ma bouche. Il n’y avait qu’un homme, et vu le rythme de ses pas, il était aux aguets. Où étaient les autres ? Etaient-ils restés dehors ? Ou m’attendaient-ils dans le couloir ? Prise de panique, je m’empara d’un objet dans les mains et lorsque l’homme eu dépasser le seuil de la porte, l’abattit sur son crâne. L’homme s’effondra au sol sous le choc en poussant un juron. J’écarquillai les yeux, il n’était pas cagoulé. J’étais clouée sur place, aucuns de mes membres ne m’obéissait. L’homme se releva lentement, les sourcils froncés.
Chelsea Bush- Messages : 5
Points : 5467
Date d'inscription : 12/12/2009
Age : 29
Re: I need some help | Chace J.
Je venais de faire trois fois le tour de la pièce. J'étais en sueur, et mes yeux cherchaient sans cesse la lumière. Où est ce que je pouvais bien être ? Des bruits, des bruits de pas, des bruits de respiration, un coup de feu, un seul. Un homme tombant à terre, un homme, ou une femme. J'essayais de ne pas imaginer le pire. Je m'approchais d'une pièce, luttant contre le noir, contre moi-même. Je sentais quelque chose sur moi, un... Flingue ? Sur moi ? Je ne comprenais plus. J'effleurais mon front, couvert de sang. J'entendais plusieurs coups de feu, et malgré moi, je prenais le flingue dans ma main et ouvrais grand la porte. Le mec, un militaire aux yeux méchants, se retournait. Il semblait me connaître, moi, je ne comprenais rien. Rien du tout. Je pointais l'arme dans sa direction, il me regardait, et ricanais.
" Mais pour qui tu te prends ? Tu crois qu'tu m'fais peur, s'pèce de... "
" Mais pour qui tu te prends ? Tu crois qu'tu m'fais peur, s'pèce de... "
J'ouvris brutalement les yeux. Le souffle court, j'étais en sueur. Je passais une main sur mon front. Je n'avais rien. Pas une coupure, rien. Je me levais, fermais et rouvrais les yeux. J'avais mal à la tête, un peu trop à mon goût. Je me levais, et rentrais sous une douche froide. J'en sortais dix minutes plus tard, complètement glacé. Je grelotais sur place. Je m'habillais, vite, simple et cherchait désespérément un cachet d'aspirine. Une journée qui commence mal, j'en avais l'habitude. J'étais presque hanté par de nombreux rêves bizarres. C'était quoi ça, et pourquoi, pourquoi je suis toujours en flic ou en militaire dans mes rêves ? Je m'adossais contre un mur, oubliant ce rêve, oubliant tout...
Quelques heures plus tard, l'aspirine avait fait son effet. Les cours se passèrent normalement. Moi, j'étais toujours absorbé par ce rêve mais n'osais en parler à personne. On me dirait que, simplement, je devais être perturbé, que c'était simplement bizarre. Que voulez-vous que les gens fassent dans ces cas là ? Ils acquiescent, dans le vide. Tout simplement. Ou alors, ils conseillent d'aller voir des psychologues. Et quand ils vous conseillent ça, ce n'est que le sous-entendu que vous n'êtes pas normaux. C'est tellement simple.
A midi, alors que je mangeais seul au réfectoire, un banal étudiant me renversait le contenu de son verre sur mon jeans. Je ne réagissais pas pourtant. Il s’excusait, et j’haussais les épaules. Aujourd’hui, la bizarroïde attitude régnait en maître sur moi. Pourtant, j’avais le sentiment que quelque chose d’important allait se passé. Mais quoi ? Où ? Et quand ?
Mon plus grand rêve aurait été de dormir toute la journée, oublié, pouvoir échapper à se sentiment qui me collait à la peau. Pouvoir me débarrasser de cette chose. Pourquoi je fais ces rêves ? J’aurais donné n’importe quoi pour le savoir.
La soirée se passait déjà mieux que la journée pénible que j’avais eue aujourd’hui. Nous prîmes la direction du bar vers 20h, rien de très extraordinaire jusque là. Je buvais, pas raisonnablement, mais ça, je n’y étais presque pour rien. Je ne vais pas jusque dire qu’on me forçait à boire, mais je me trouvais un peu influencé par le reste de la bande qui buvait sans modération. Mais je n’allais pas jusqu’à être saoul. Je m’arrêtais, juste à temps. Je pris vite congé, avant que ma bonne résolution ne s’envole dans un courant d’air invisible. En sortant du bar, je sentais l’alcool, et mon haleine me dégoûtait. Je marchais en longeant les murs, m’arrêtais pour reprendre mon souffle de temps à autre et en profitais pour sentir l’air frais. J’avais mis un long moment avant de voir les grands bâtiment se dresser devant moi. J’avais mal au dos, pour une raison inconnue. Je m’engageais lentement dans l’établissement et montait lentement les escaliers. Lorsque j’ouvris la porte de la colocation, j’entendais des bruits bizarres, j’allais au milieu de la pièce, écoutais avec attention, cherchais le moindre bruit. Etais-ce un voleur ? Ca ne pouvait être quelqu’un de la colocation, c’était trop… Bizarre ? Je n’avais vu que ça aujourd’hui. Le bruit venait de la salle de bain, et j’avançais d’un pas lent mais normal dans la pièce. Au moment où je passais le palier, quelque chose de violent s’abattit sur mon crâne, et me fit très mal au passage. Je poussais un juron. J’avais mis ma main sur ma tête, j’allais avoir une bosse après sa. Je me relevais très lentement, j’avais mal. Je levais un regard vers la jeune fille tétanisée presque devant moi. Je soupirais et gardais pourtant mon calme.
" Mais pourquoi est ce que vous avez fait ça ? "
Fis-je en me redressant lentement, jusqu’à m’asseoir contre le mur de la salle de bain, ma main tenait l’endroit où elle m’avait frappée. Bon résumons ; Un rêve affreux, une journée pourrie, une mystérieuse fille qui m’attaque, mais qu’avais-je fais au bon dieu pour mérité sa aujourd’hui ? Je regardais avec insistance la jeune fille, cherchant au moins à avoir une réponse.
Chace Johnsonn- Admin
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Localisation : A Miami Academy. Bien sûr XD
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Re: I need some help | Chace J.
Dans un mouvement rapide mais quelque peu maladroit, il se releva. Je restai clouée sur place, les jambes tremblantes, le souffle court, les pieds comme soudés au sol. L’homme alla s’adosser au mur, une main plaquée contre son front. Des gouttes de sang coulaient lentement de son front.
" Mais pourquoi est ce que vous avez fait ça ? "
Me lança il, tout en gardant un calme inquiétant. Je ne répondis pas. J’étais incapable d’ouvrir la bouche, mon corps tout entier était paralysé. Des milliers de questions se bousculèrent dans ma tête. S’il n’était pas un des hommes auquel j’avais réussis à échapper, qui était-il ? Mes agresseurs étaient-ils dans les couloirs ? « On te lâchera pas, salope! On te retrouvera où que t'aille! » Cette phrase ne faisait que me résonner en tête.
« Q…Qui êtes-vous ? »
Parvins-je enfin à articuler, ignorant sa question. Je n’attendis pas sa réponse. Je me précipita vers la porte, voulant partir loin de là, à tout prix. Mais quelque chose attrapa mon poignet, l’homme le tenait fermement, apparemment pas décider à le lâcher.
« Foutez-moi la paix ! »
Hurlais-je, hors de moi. Pourquoi ne me lâchait-il pas ? Je lui avais certes bien amocher le crâne, mais s’il ne voulais pas ce retrouver encore une fois à terre, il avait intérêt à me lâcher immédiatement. En rage, je le giflai. Mais il ne lâcha pas prise. Des larmes commencèrent à couler le long de mes joues et petit à petit, je cessai de me débattre, et je me laissa glisser jusqu’au sol.
(court, désolé :S)
" Mais pourquoi est ce que vous avez fait ça ? "
Me lança il, tout en gardant un calme inquiétant. Je ne répondis pas. J’étais incapable d’ouvrir la bouche, mon corps tout entier était paralysé. Des milliers de questions se bousculèrent dans ma tête. S’il n’était pas un des hommes auquel j’avais réussis à échapper, qui était-il ? Mes agresseurs étaient-ils dans les couloirs ? « On te lâchera pas, salope! On te retrouvera où que t'aille! » Cette phrase ne faisait que me résonner en tête.
« Q…Qui êtes-vous ? »
Parvins-je enfin à articuler, ignorant sa question. Je n’attendis pas sa réponse. Je me précipita vers la porte, voulant partir loin de là, à tout prix. Mais quelque chose attrapa mon poignet, l’homme le tenait fermement, apparemment pas décider à le lâcher.
« Foutez-moi la paix ! »
Hurlais-je, hors de moi. Pourquoi ne me lâchait-il pas ? Je lui avais certes bien amocher le crâne, mais s’il ne voulais pas ce retrouver encore une fois à terre, il avait intérêt à me lâcher immédiatement. En rage, je le giflai. Mais il ne lâcha pas prise. Des larmes commencèrent à couler le long de mes joues et petit à petit, je cessai de me débattre, et je me laissa glisser jusqu’au sol.
(court, désolé :S)
Chelsea Bush- Messages : 5
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